Ce siècle avait vingt-cinq ans et moi un peu plus du double, je profitais de quelques jours de congé. Après avoir vaqué aux différentes obligations de la journée, comme se lever, préparer le barbecue, manger, faire la sieste, aller à la plage, remonter de la plage, je m’attelais à préparer ce qui devait être le point d’orgue de la journée : l’apéro. Science précise, bien que complexe, sur notre chère île de Groix.
Le premier convive arriva. C’était le professeur de lettres et socialiste « (…)
