Commentaires :

• 20 février 2020, 22:04

  encore un ""commentaire"" téméraire sans signature :-(

  l’étalage du manque de courage des sans couilles anonymes, je ne m’en lasse pas ...
  Ah si j’avais pu faire des études de sociologie, quel vivier j’aurais trouvé ici à portée de main !!
  AM

• 21 février 2020, 19:30, par alice dartile

  on s’en fou qu’il soit avec ou sans signature ! Il suffit de voir les signatures des commentaires publiés pour comprendre que ça n’est vraiment pas le critère à retenir !

  Soit le commentaire est intéressant et en cas cas il faut le publier, soit il ne l’est pas et en ce cas vous avez raison de l’écarter (encore que ça ne coûte pas bien cher de le publier quand même et de laisser chacun juger !) ; Mais bon, faut pas trop demander hein !

• 21 février 2020, 20:07

  Vous êtes sans doute trop jeune pour connaitre l’histoire de ce blog. il a été précédé il y a 20 ans par un site où je publiais TOUS les commentaires, fussent-ils anonymes, voire injurieux, délateurs etc pour montrer à quoi on pouvait s’attendre quand on donnait la parole à (peut-être) des personnes qui ne l’ont habituellement pas.
  Les visiteurs les plus assidus de ce site m’ont demandé de NE PLUS PUBLIER CES COMMENTAIRES ANONYMES ; J’en ai fait une règle de fonctionnement que j’ai annoncée ET QUE JE REPETE SANS CESSE ; maintenant, si cette règle ne convient pas à certains, rien ne les oblige à me lire. Je ne suis pas un service public ; ce blog m’appartient ainsi qu’à mon fils qui l’a créé et à mon conjoint qui m’aide pour son contenu et son financement.
  En lisant ce qui a été publié sur le Collectif RESSAC, je me suis fait la réflexion sur l’anonymat que je juge dommageable. J’en ai fait part à une de ses membres quand elle m’a demandée de publier l’info. et je le répèterai en commentaire de l’extrait de OF que je m’apprête à publier illico presto.
  A chacun sa culture, la mienne a toujours été la transparence et au vu de certains coms de FB, je ne suis pas la seule !
  AM
  P Scr :
  - pour ce qui est de ce que ça coûte, je peux vous envoyer les factures de notre hébergeur, parce que vous ne l’avez peut-être pas remarqué non plus, mais ce blog vous fait le cadeau de ne pas vous infliger de publicités PARCE QUE JE LE PAIE DE MA POCHE !! (c’est ma danseuse :-) )
  - ce jour est un de ceux où il ne faut pas trop me chatouiller ...

• 19 février, 14:22

  Alors je vais répondre simplement, les résidences secondaires ne seront jamais à la location annuelle. Pour la simple raison qu’elles sont occupées pendants deux ou trois mois de l’année en période scolaire ou non d’ailleurs.

  D’autres le week-end ou certaines longues périodes, par les enfants, les petites enfants, la famille, voir même les cousins. Donc ce soit disant combat contre les résidences secondaires est défacto voué à l’échec ce n’est pas le bon combat.

  Ensuite sur le locatif Airbnb ou autres qui ne découlent vous oubliez que ce vecteur de l’économie emploi des personnelles Groisillions, l’artisanat Local, les restaurants, et payes très largement leurs taxes et impots à la commune.

  Alors si il faut effectivement loger les actifs et je parle d’actif c’est la commune qui est concerné et au travers CAP LORIENT. Mais il y a un mais.

  Et il est très grand la loi SRu et Elan qui sont des lois scélérate comme la vague ne s’applique pas à GROIX et heureusement, et que les lois protégeant nos iles sont indispensables pour ne pas devenir un dessin qu’avait dépeint mon Cousin Alain BEUDEFF, Mais si il n’y a pas de logement a GROIX, la Région Bretagne n’en ai pas dépourvu comme a Lorient, et au alentour.

  Vous souhaitez habitez une commune ou vous savez que de logement y est rare. Eh bien, vous allez dans la commune la plus proche, elle ne se trouve qu’à 17 km et le jour ou un logement ce libère vous venez habiter à Groix.

  Ou alors, vous vous mettez sur les rangs d’un bien à l’acquisition et vous deviendrez peut être propriétaire, que vous céderez à vos enfants qui en feront une résidence secondaire ou qui la vendrons.

  Alors pour être respectez, commencez par respecter la collectivité, les personnes qui y habitent Groisillions ou pas.

  De la part d’un Groisillions non natif par son père mais natif par sa mère, d’une famille enraciné depuis les années 1501 au plus loin mais 1300 d’après mes aïeux.

  Si votre collectif est louable vous vous trompez de cible !!!

  Cordialement
  M GUILLAUME jean claude

• 20 février, 13:20

  Votre commentaire sent le rance, ou l’égoïsme du petit bourgeois possédant.

  Pour pouvoir choisir entre les deux, il aurait fallu par exemple que vous précisiez pourquoi selon vous la loi SRU serait « scélérate ».

  Loi qui, rappelons-le, n’est aujourd’hui respectée que par moins de 4 communes concernées sur 10 (du coup je suis aussi intéressée par votre « Mais il y a un mais. Et il est très grand  »).

  m.Anne

• 27 février, 10:09

  m.Anne,

  Madame qui n’a même pas la Grandeur de signer de son nom et de son Prénom pour insulter une personne qui vous réponds avec des arguments simples comprendre pour un enfant de deux ans.

  Alors peut être que votre petit cerveau n’a pas assez de neurone pour comprendre ce que j’ai ecrit certe avec quelques coquilles je vous l’avoue mais sans aucune insulte.

  Je ne sait pas ou vous avez vu que des propriétaires sont des bourgeois. Ou alors est ce que le fait d’avoir travailler toutes sa vie et fait en sorte de créer une épargne, fait de vous un bourgeois peut être effectivement.

  Bourgeois par ce que j’ai hérité de mes parents et de mes grands parents par ce que eux aussi ont su gérer et faire fructifier leurs patrimoines alors oui effectivement.

  Et pour le "Mais par ce qu’il y a un Mais" posez vous les bonnes question !

  Et surtout du bien fondé de votre utilité !!!!!!!!!!!!!

  A bon entendeur salut

  M GUILLAUME jean claude

• 27 février, 10:33, par Anita

  Pas bourgeois mais PETIT bourgeois (ce serait trop d’honneur... 6 fautes ! un bourgeois serait allé dans de bonnes écoles ...)
  et PETIT bourgeois dans le sens où Wikipedia l’emploie : "Le terme de « petit-bourgeois » a parfois été employé dans le langage courant pour qualifier négativement des idées ou un mode de vie jugés médiocres. « Depuis Baudelaire, Flaubert ou Brecht, le « petit bourgeois » est l’image de l’anti-héros par excellence. », explique un journaliste du quotidien Le Figaro en 2009. Le petit bourgeois est généralement moqué ou critiqué pour son mode de vie (qui serait matérialiste, routinier, banal, sans imagination) et sa mentalité (qui serait fermée, centrée sur la défense de ses intérêts immédiats, sur sa petite propriété, sans ambition ni transcendance)"
  J’ai choisi un exemple pris dans Le Figaro ce qui ne peut que ravir un supporter de "Horizons"

• 27 février, 14:27

  Anita ayant parfaitement répondu sur « petit bourgeois », je vais vous répondre sur le reste (je reviendrai sur « possédant » un peu plus loin).

  Tout d’abord, il vous aura échappé que je ne vous insulte pas, mais que je conchie votre commentaire («  votre commentaire sent le rance... »).

  Je n’« insulte » - à l’occasion - que les gens qui utilisent leur position de force (physique, médiatique, décisionnelle…) pour dévoyer les trois mots qui font la devise de la République française.

  Ainsi je peux insulter en direct un CRS qui frappe un manifestant à terre, je peux insulter indirectement un milliardaire qui use de sa propagande à longueur de média, parce qu’il sait parfaitement bien que « la masse » n’a pas forcément ni le temps ni les moyens de s’informer autrement que devant sa télé, mais je peux insulter aussi pourquoi pas un président de la République quand il décide seul de lois iniques, et toujours dirigées contre « la masse » (c’est souvent le cas pour Foutriquet 1er).

  Pour moi, le mot « masse » n’est aucunement péjoratif, bien au contraire. Il (me) permet de définir - faute de mieux – deux parties de la population entre lesquelles les inégalités ne cessent de se creuser : les « possédants » et « la masse ». 

  « Les possédants » à qui on offre des baisses d’impôts alors que pour « la masse », c’est la stagnation des salaires pour la baisse du coût de production et une meilleure rémunération des actionnaires, pour « les possédants » une accumulation de biens haut de gamme à l’utilité douteuse (sauf si détruire un peu plus l’environnement est utile), et pour « la masse » de la flexibilité, du chômage, de la précarité et de l’exclusion sociale (sauf à choisir un abonnement VOD plutôt que de bien bouffer), etc, etc...

  Mais je me recentre. Le peu de neurones de mon petit cerveau attend (verbe au singulier et non au pluriel, d’après les dictionnaires, puisque vous semblez bien parler de l’insuffisance du nombre de mes neurones, et ceci sans m’insulter bien sûr), attend donc toujours que vous vous expliquiez sur la loi SRU.

  Loi qui est censée protéger (un peu) du mal logement ceux de « la masse » qui ne sont justement pas « possédants » ; le fait que vous dénigrez cette avancée situe bien votre commentaire.

  Quant à définir mon (notre) « utilité » ici-bas, quelques pages de commentaires sur l’éthique n’y suffiraient probablement pas. Si vous souhaitez vous y cogner, ne vous gênez surtout pas.

  m. Anne

  (masseur Anne, si jamais cela vous sied au niveau « Grandeur » Monsieur GUILLAUME Jean-Claude, sinon je change)