En Bref
Publié le 31 décembre 2010 à 12:09Transport. Une hausse des passages qui fâche
Le passage d’un camion de 26 tonnes est désormais facturé 148 € HT, au lieu de 98 € HT auparavant. « Les entreprises du bâtiment qui ont fait leurs devis en 2010 vont devoir répercuter une hausse de 9 centimes pour chaque parpaing transporté », dit Gilles Le Ménach à titre d’exemple.
Le Télégramme 31/12/10
L’équipe des pauses-café recherche des documents
Le thème choisi pour l’année 2011 est : La pêche et la vie des Groisillons de l’après-guerre à nos jours. Afin de confier ses archives personnelles à l’équipe, en rapport avec ce thème, ou de faire part de ses trouvailles, il faut contacter le 50 01 ou le 06 81 27 63 40.
Ouest-France 31/12/10
Mouillages. Une lettre de l’association au préfet
Le collectif Natura 2000, créé à l’initiative de l’Aumig, présidée par Michel Stéphant, écrit au préfet pour dénoncer le rejet en mer des boues de la BSM. Le collectif demande à être associé à une véritable concertation prenant en compte les intérêts réels sans pénaliser les insulaires.
Le Télégramme 31 décembre 2010 -
Départements. Le début de la fin ?
C. Lebreton estime que, si cette réforme n’a pas pour objectif de les faire disparaître institutionnellement, « tout est fait pour les étrangler financièrement. Les citoyens, associations et communes ne pourront plus bénéficier des mêmes aides pour l’accès ou la construction des équipements de proximité ».
H. Queillé Le Télégramme 31 décembre 2010 -
« Indignez-vous » les uns les autres
L’enjeu, pour une société épuisée par les yo-yo de la finance mondiale, c’est de trouver des mots pour dire ce qu’elle ressent. Lorsque Hessel écrit : « L’actuelle dictature internationale des marchés financiers […] menace la paix et la démocratie », il exprime un sentiment largement répandu.
E. AESCHIMANN Libération 30/12/2010
Commentaires :
2 janvier 2011, 12:35
comme pour tout commerçant qui se respecte, le pourcentage du bénéfice augmentera d’autant et alourdira encore plus la note du client en fin de parcours...
AM
3 janvier 2011, 09:49, par denise
pas si simple anita ! la part du bénéfice ?..............tu veux parler de la marge commerciale, celle qui avant d’être bénéficiaire, doit permettre de payer les frais genre salaires, charges diverses, impots divers et variés, loyer, entretien, transport et en tout bout de course faire quelques résultats pour investir dans l’outil de travail afin de continuer à travailler correctement et tout simplement durer ! et gagner un petit plus qui te fera supporter les nuits blanches passées à se demander comment faire face aux échéances de la fin du mois suivant.
3 janvier 2011, 10:33
J’ai appris dès l’école primaire ce qu’est un bénéfice.
j’ai (un peu....) approfondi la question quand, après une formation commerciale, je suis devenue employée de banque. CAP ad hoc obligatoire en cours d’emploi et lors de la formation cadre, j’ai fait des études de bilan.
J’ai donc vu à cette époque que certains commerçants tiennent leur boutique à bout de bras parce qu’elle n’est pas rentable (mauvaise étude de marché, pas de suivi de l’évolution de la demande etc, etc...)
J’ai vu aussi les belles dames des boutiques voisines de ma banque, choucroutées, bijoutées, envisonnées, venir déposer leur caisse (entre deux départs dans leurs "superbes autos" vers leur bateau à quai ou leur chalet de montagne).
A l’oeil nu, il est assez facile d’évaluer approximativement un train de vie !
(c’est pour cela que les signes apparents se font moins ostentatoires)
On se rendra vite compte que cette augmentation du prix du transport va être répercutée chez certains au-delà de son coût réel.
On prend les paris ?
AM
3 janvier 2011, 11:53, par denise
oh, je ne voulais pas te donner de leçons...les choucroutées et bagousées ne me gênent pas plus que ça si elles paient leurs impôts .
souvent plus près des 60h/semaine bosser pour se payer un chalet ou un bateau c’est son problème.
pour ma part je respecte ce qui est souvent l’idée de départ "bosser pour soi" et pas pour un patron.
après que l’on se plante ou que l’on soit mauvais, en général ce paie cher aussi.
quand à répercuter au max, depuis quelques années beaucoup de commerçants prennent sur eux, les temps sont durs , les clients intelligents, exigeants et informés