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De la notion "d’extension de village" et de son application à géométrie variable

mercredi 28 février 2007, par AM

A la recherche de la ligne (d’apparence très sinueuse) qui a bien pu fonder les décisions de classement/déclassement des terrains constructibles dans le cadre du PLU, j’ai interrogé Mr Jégouso de Cap l’Orient que l’on nous avait présenté comme le référent du projet. (Le service habituellement concerné de la DDE m’avait précédemment indiqué qu’il n’avait pas été consulté dans les premières phases de la mise en place du PLU groisillon).

A ma grande surprise, Mr Jegouso m’a informée qu’en matière d’extension
existante, un nombre égal à 30% du nombre des maisons anciennes d’un
village pouvait être intégré.

Je lui ai fait remarquer que, dans le village où j’habite, une seule
maison construite en extension de village a été maintenue sur terrain
"constructible".

Il ne connaît pas la raison du choix qui a guidé le service d’urbanisme
groisillon, précisant bien qu’il ne lui appartenait pas de savoir
quelles étaient les maisons appartenant, par exemple, à des élus.

La municipalité n’envisageant apparemment pas de communiquer le relevé
des modifications apportées dans le cadre de l’évolution POS/PLU et de
sa lecture particulière de la Loi Littoral, je vais, au fur et à mesure de mes
disponibiltés d’emploi du temps, vous communiquer les résultats de mes
observations, en me basant sur la carte du POS en ma possession.