Beaucoup de participants se sont posé la question hier : était-ce l’émotion qui lui faisait, de la haut, nous envoyer tout ce liquide ?
Pour être trempés guenés, ça on l’a été ! Mais stoïques devant le gwin ruz noyé dans nos verres, slalomant entre la grande tente
et le pied de la scène pour prendre les photos, nous avons rencontré quelques vrais amis d’Alain.
Plaisir aussi de voir les bénévoles habituels à leurs places : les marmitons du Fifig ont pu écouler une bonne partie de leur thon grillé avant l’arrivée de la pluie. Les retardataires ont dû goûter à la recette inédite du sandwich-merguez assaisonné à la boucaille.