Patrimoine-Traditions

L’association Saint Gunthiern, en charge des lavoirs et fontaines de Groix expose jusqu’en septembre à la gare maritime de Lorient.

Vous pourrez y voir des copies d’aquarelles et l’histoire du lavage du linge.

La chenille géante, emblème de l’édition 2005, était portée à bout de bras en tête du cortège puis, à la nuit tombée, le Ma Lardig a été brûlé en fanfare sur la grand-place.
Le Télégramme 21/02/2005

L’équipe des membres actifs de l’association Saint-Gunthiern sera au Stang le mercredi 13 juillet à 14 h, pour nettoyer le lavoir.
Ouest-France 12/07/2005

L’association Saint-Gunthiern s’est donné pour mission d’entretenir et de valoriser le petit patrimoine.
Tous les mercredis, une équipe d’une vingtaine de bénévoles se retrouve pour nettoyer les abords des lavoirs et fontaines mais aussi des mégalithes (dolmens et menhirs).
(...)
© Le Télégramme 02/04/2004

Cinq noeuds, ça suffit pour partir en mer »
Groisillon depuis son enfance, José Calloc’h dirige l’atelier matelotage, à
l’écomusée de l’île. Renseignements au 02.97.86.84.60.
Le Télégramme 28/07/2004

L’association Saint-Gunthiern entame cet après-midi les travaux d’aménagement des abords du lavoir de Quelhuit. Rendez-vous sur place dès 14 h. L’association a besoin de bras pour entretenir les 25 lavoirs et fontaines de l’île.
Le Télégramme 09/11/2005

Le cercle celtique organise une soirée autour du chant, de la danse et du conte, aujourd’hui, à partir de 21 h, au Triskell, place du Leurhé, pour fêter la Saint-Patrick.
Le Télégramme 18/03/2005

La France compte aujourd’hui près d’un millier d’écomusées. Leurs représentants ont débattu, hier, à Besançon (Doubs). Ils veulent en finir avec l’image désuète et « bricolée » qui leur colle encore à la peau.
Les écomusées en ont assez. « On a de nous l’image des musées d’art et traditions populaires du début du XXe siècle où l’on exposait trois costumes et quatre outils en bois », rigole Marc Goujard, président de la Fédération des écomusées et des musées de société.
Goémoniers et (…)

La langue bretonne n’a jamais été autant enseignée qu’aujourd’hui (1). Et pourtant, elle va mal. Au point que ses plus ardents défenseurs craignent de la voir ravalée sous peu au statut de langue morte. Pour eux, le salut ne peut venir que de la décentralisation.
Longtemps bercé par la perspective d’une intégration que Jack Lang croyait avoir bordée mais que le Conseil d’État a une nouvelle fois retoquée, le réseau associatif des écoles Diwan a fini par se faire une raison. Son président, (…)

Ouvert, du mardi 31 octobre au dimanche 5 novembre, de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 17 h ; visites guidées et groupes, sur rendez-vous. Tél. 02 97 86 84 60
Ouest-France 30/10/2006