Pollution

Hier matin, Alain Malardé a demandé audience au secrétaire d’Etat aux
Transports et à la Mer. La demande du président de la Confédération maritime
a été accordée et une conseillère du secrétaire d’Etat l’a reçu.
Lors de cet
entretien, le président de la Confédération maritime, « a sollicité de
Monsieur le secrétaire d’Etat une vision plus réaliste de la sécurité
maritime. Pour qu’enfin, la connaissance par une formation adaptée l’emporte
sur l’ignorance qui entraîne les catastrophes (…)

LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE NANTERRE A FIXE L’AUDIENCE DE REFERE CONCERNANT L’AFFAIRE PRESTIGE/BUREAU VERITAS AU JEUDI 9 JANVIER 2003 A
09h30.
LE BUREAU VERITAS NE PEUT CONTESTER SA PART DE RESPONSABILITE CAR IL A EMIS L’UN DES DEUX CERTIFICATS PERMETTANT AU PRESTIGE DE NAVIGUER.
L¹AMERICAN BUREAU OF SHIPPING A EMIS LE CERTIFICAT CONCERNANT LA STRUCTURE, LE BUREAU VERITAS CELUI DES PROCEDURES DE SECURITE.
SANS CE CERTIFICAT LE PRESTIGE NE PEUT PAS NAVIGUER.
KEEP IT BLUE VEUT (…)

L’émission « Pièces à conviction » de France 3, du 26 janvier dernier, a rappelé qu’un laboratoire indépendant, Analytika, avait dès janvier 2000, affirmé que le produit arrivé sur le littoral n’était pas du fioul n°2, mais une substance très proche des boues de forage..../...

« Depuis l’émission de France 3, des dizaines de personnes nous appellent chaque jour pour évoquer des problèmes de santé », explique Rossano Pulpito, président de l’Assocation des bénévoles de l’Erika (ABE) (...)

L’Association nationale des maires des stations classées et communes touristiques (ANMSCCT) conteste les Pavillons bleus et noirs, décernés chaque année par deux associations (la Fondation pour l’éducation à l’environnement en Europe, FEEE, et Surfrider Foundation) pour caractériser la qualité des eaux de baignade.
Signe du "manque de sérieux ou de méthode" des acteurs : une même plage peut recevoir les deux labels, censés distinguer les "bons" et "mauvais" élèves du littoral. L’ANMSCCT (…)

Des bénévoles qui ont ramassé le fioul de l ’ Erika sur les plages ont annoncé , hier, vouloir établir un bilan sanitaire de cette opération de nettoyage, la cargaison du navire étant soupçonnée d ’ être plus toxique qu ’ annoncée http://erika.benevoles.free.fr/
Le Télégramme 21/01/2007

Se sont succédé, D. Voynet, P.de Villiers, C. Lepage. A. Bougrain-Dubourg est en pull bleu. A. Malardé, en ciré jaune. Jo Le Guen dépasse tout le monde d’une tête, moustache en avant. Les prévenus, à l’inverse, tentent de passer inaperçus. Bernard LE SOLLEU. Ouest France
Erika. Dans le vif du sujet D’un côté, la société Total dénonce « les imprécisions de la poursuite » qui l’empêchent d’organiser équitablement sa défense. De l’autre, les parties civiles estiment qu’elles n’ont pas les (…)

Entretien avec Willy Colin, journaliste à France3 Ouest et co-auteur d’une d’une enquête sur la cargaison du pétrolier.

"Erika, mystères autour d’une cargaison". Avec Antoine Placier, confrère journaliste à France3 Ouest, Willy Colin, a mené l’enquête durant plusieurs mois pour en savoir plus sur la nature du fuel transporté par l’Erika.

Une enquête qui s’est fixée comme seul objectif de rétablir la vérité. N’en déplaise à la compagnie Total mise en cause dans cette investigation.

A défaut d’infos officielles sur l’état des plages, ce qui, et c’est
heureux,
nous permet de supposer qu’elles sont parfaitement propres, Madame
Pratique vous fait part des conseils qu’elle a glané dans la presse du jour
et qui vous permettront de vous débarrasser des souvenirs du Prestige,
(si vous avez fréquenté un de ces endroits où l’on trouve des boulettes -
pas Groix bien entendu !)
I - Ne pas nettoyer la peau avec du white spirit. préférer un corps gras
(huile solaire, (…)

Le Gouvernement se doit d’adopter une législation ayant un réel impact sur les ventes de 4x4. A titre d’exemple, un 4x4 Cayenne coûtant en moyenne 80 000 euros, devra payer un malus d’à peine 380 euros, soit une surtaxe inférieur à 0.48% du prix d’achat.
Ouest-France 13/09/2005

Le CG a annoncé qu’il allait demander une indemnisation qui correspond aux dépenses de personnel et de communications, à la dégradation du réseau routier, aux subventions diverses, aux aides versées aux communes. .
Le Télégramme 02/02/2007