Protection environn.

Le premier numéro de la revue « Bretagne(s) » est dans les kiosques. Ce document trimestriel, édité par une association publie des travaux scientifiques concernant la région, dans les domaines économique, politique, sociologique, démographique, historique ou géographique.
Le Télégramme 14/01/200

Le Muséum d’histoire naturel, le bureau minier BRGM et l’Etat ont lancé l’inventaire des richesses à l’échelle du territoire national. « La géologie raconte l’histoire de la Terre, elle façonne les paysages. Pourtant, ce patrimoine est bien moins connu et protégé que d’autres », plaide Pierre Nehlig du BRGM..../...
La Bretagne servira d’exemple pour l’inventaire. Les associations locales très dynamiques a commencé leur travail en 1994. Aujourd’hui, 153 sites ont été répertoriés dont 38 (…)

La réserve François Le Bail, est la seule réserve naturelle géologique à intérêt minéralogique de France. Gérée par l’association Bretagne vivante-SEPNB, elle s’étend sur 47 ha, au nord-ouest et au sud de l’île.
"le visiteur ne doit rien ramasser ici : il doit juste venir pour regarder" prévient F. Le Cornoux, animateur de la réserve. La réserve, dont l’accès est libre et gratuit, est visitée chaque année par des dizaines de milliers de personnes.
http://www.tsr.ch/tsr/ (Télé Suisse (…)

Pour T. Goyet (PCF), D. Girard (Verts) ou encore Y.Syz (UDB), il ne fait aucun doute que ce tracé cherche à protéger « les intérêts d’opérateurs qui ont une activité en cours ». Tous dénoncent également la précipitation qui semble prévaloir dans ce dossier.
Le Télégramme 16/05/2008

Trois organisations écologistes publient une brochure gratuite à destination des élus pour les aider à "encadrer la circulation des engins motorisés dans les espaces naturels".

"La rapide progression des loisirs motorisés et la diversification des types de véhicules tout-terrain menacent de plus en plus gravement, non seulement la tranquillité publique du fait du bruit de ces véhicules, mais surtout la faune, la flore et les espaces naturels utilisés", écrivent les auteurs du guide" (...)

Il était 16H15, heure de Paris aujourd’hui quand Tara a quitté son quai à Longyearbyen. A terre, des petits drapeaux norvégiens s’agitaient. Sur le pont de Tara, des fusées de détresse se consumaient au bout du bras de plusieurs équipiers, comme à l’arrivée.

Halo de lumière rouge au milieu de l’Isfjorden sur fond de hurrah, hurrah, hurrah scandés depuis la mer et la terre. Alchimie humaine en marche. Des larmes au coin des yeux des deux côtés, tant l’accueil a été chaleureux sur cette île administrée par la Norvège (...)

Cet après-midi, découverte de la réserve de Pen Men. Rendez-vous à 14 h sur le parking près du phare. Demain à 14 h, visite géologique à la pointe des chats. La maison de la Réserve est ouverte en matinée au bourg : exposition sur les lichens.
Le Télégramme 19/04/2007
Lundi 23 avril, de 14 h à 16 h, plantes comestibles ou médicinales. Rendez-vous près du bar de la plage à Locmaria. Mardi 24 avril, de 14 h à 16 h, découverte de la Réserve naturelle à Pen Men.
Ouest-France 19/04/2007

Le porte parolat a été confié, après le départ de Jimmy Pahun qui se présente aux élections législatives, à Alain Bonnec, maire adjoint d’Erdeven, et quatre axes stratégiques ont été retenus, qui ont donné lieu à la création de commissions ad hoc. La mobilisation des associations de défense de l’environnement constituant le collectif du peuple des dunes est sans faille, fortes également de l’assurance qu’elles ont de pouvoir mobiliser désormais, et très rapidement, des milliers de personnes, (…)

Le collectif associatif « Le peuple des dunes », constitué il y a à peine deux mois pour lutter contre le projet d’extraction de sable du groupe Lafarge en baie d’Etel, s’étoffe. C’est au total plus d’une centaine d’associations qui se mobilisent contre ce projet. Le Télégramme 17/02/2007 Sable : le Peuple des dunes en marche Le collectif passe la vitesse supérieure. Jimmy Pahun, le porte-parole du collectif y croit dur comme fer : « La manifestation d’Erdeven doit faire date. Comme celles (…)

L’urbanisation, l’augmentation des zones inondables, sont susceptibles de réduire les surfaces de terres arables disponibles pour l’agriculture. Les sols agricoles ont supporté les progrès intenses des pratiques agricoles modernes.
François LEMARCHAND. Ouest France 29/02/2008