Cinéma-vidéo

« Le dernier Festival a été très riche, avec des contacts étroits avec Madagascar » explique Gilbert Nexer. Il fait référence par exemple à la présence de Bekoto qui est revenu au mois d’octobre préparer le voyage à Madagascar.
Le président, Gilbert Nexer, ici en compagnie du trésorier Gilles Blorec sur les hauts de Port-Lay, passera le relais l’an prochain.
Ouest-France 23/11/2006

Les plaisanciers doivent bien sûr adhérer à la SNSM mais les "terriens" peuvent aussi aider par leurs dons et achats d’objets siglés.

Un moyen supplementaire de (re)connaître le travail effectué par ces bénévoles est d’acheter le DVD du film de Jean Luc Blain "Sortie de Secours" (...)

Une vingtaine de personnes se sont retrouvées au Bonobo bar.

La séance est présidée par Catherine Riand. Celle-ci précise tout d’abord que Cinéf’îles ne remplace pas Ciné des îles, comme cela avait été écrit dans Le Télégramme. « Ciné des îles est une association créée depuis 2 ans environ dont le projet initial, soutenu par ARTE, était de fédérer des ciné-clubs sur plusieurs îles du Ponant. Martine Netter, Yvana Yvon et moi-même avons été séduites par cette initiative et nous nous sommes abritées sous cette association pour faire du cinéma à Groix.

D’autres se sont joints à nous par la suite et notre expérience après un an de fonctionnement nous a montré que nous ne nous débrouillions pas si mal, et nous avons eu envie de créer notre propre association. »

Le troisième festival international du Film insulaire, qui a débuté, hier
soir, à Groix, s’est ouvert sous une brise tropicale, celle qui souffle à La
Réunion et Maurice, îles invitées, cette année.
Odeurs d’accras de morue et
parfum de punch planteur de La Réunion ont tout de suite mis le public dans
l’ambiance, au village du festival, planté sous les fenêtres de l’Esmeralda,
cour de la manifestation.
(...)
© Le Télégramme 28/08/2003

C’est parti ! Jusqu’à dimanche, Lanester va vivre à l’heure nord-africaine.
Pour cette 23e édition du festival du cinéma, la ville et différents services se mobilisent : la salle Jean-Vilar pour la diffusion des films, la médiathèque, avec une série d’animations tout le mois sur les Berbères, le service des espaces verts pour le décor, la cuisine centrale, qui confectionne des repas pour les écoliers.
Mais aussi différentes associations : l’atelier de danses orientales de Moufida (…)

Dans le cadre du mois du film documentaire, l’association « Iles tournent » présente, ce soir, à 21 h, « El fuego y la palabra » en présence de Marc Tomsin, membre du comité de solidarité avec les peuples du Chiapas en lutte.
Le Télégramme 18/11/2005

de Enrique Fernández et César Charlone.

Jeudi 8 mai à 21 heures

Le film se passe en 1988, au moment où Jean Paul II visite la région. Les médias (en l’occurrence une calamiteuse télévision locale) apprennent aux citoyens de Melo que le souverain pontife célébrera chez eux une messe en plein air.

4ème édition, quatre ans déjà... Au début, ce fut l’interrogation : qu’est-ce que l’insularité ?
Nous, îliens, nous étions persuadés de le savoir, de le ressentir, puis des centaines de films sont arrivés en présélection et au fur et à mesure le doute s’est installé : toutes les îles sont-elles semblables, est-ce que la culture, la couleur, la politique, l’influence d’un "en face" trop puissant, la volonté de désenclavement, de continuité territoriale, les racines ou simplement le (…)

Organisées conjointement par la mairie, l’écomusée, le cybercentre, les cartophiles et des bénévoles, les pauses café-souvenir ont cette année pour thème les conserveries de l’île, avec des projections de films ou de photos datant de l’époque où le fruit de la pêche était le poumon économique de Groix.
Ouest-France 29/01/2005

Un film de David FINCHER Résumé : Un jeune cadre qui en a marre d’être dynamique rencontre un anarchiste charismatique. Ensemble, ils créent le Fight Club, une société secrète d’hommes désabusés qui réveillent leurs instincts de mâles en se boxant à poings nus dans les sous sols de bars.
Ce film est une bombe révolutionnaire !!! Malgré un début assez plat (aussi plat que la vie d’Ed Norton à vrai dire), le jeu de caméra de D. Fincher (l’effet magazine Ikea et les effets rétro-loupe) (…)