Le budget annuel prévu par la région pour la DSP est de 5,9 millions d’euros, entièrement dédié à la desserte des îles du Finistère. La dotation à la Compagnie océane, qui représente aujourd’hui 550 000 euros, devient nulle. Michaël Quernez : « les compagnies ont fait des efforts substantiels » pour maintenir leurs tarifs et améliorer leurs services.
Ils nous feront toujours rire... jaune ! Lors du débat, ces braves petits soldats auraient fait preuve d’une belle indépendance. Ils auraient soutenu la candidature de Brittany Ferries mais, et c’est là où la philosophie de leur gourou est efficace, au moment du vote, ils auraient choisi Transdev !!! (...)
Les spécialistes du secteur parlent d’"excès de tourisme". Venise deviendra la première ville au monde où il faudra payer pour entrer. Trois euros, en réservant, dix euros sinon. L’essor des plateformes de location altère l’offre au point de rendre parfois impossible aux autochtones de se loger décemment comme locataire. (...)
Trois offres ont été déposées pour les deux lots, indique la région : Compagnie océane, filiale de Transdev, pour le Morbihan ; Penn ar Bed, filiale de Keolis, pour le Finistère ; et Brittany ferries qui s’est positionnée sur les deux dessertes. Mais à l’issue de la période de négociation, seules les deux premières offres ont été retenues, celles de Brittany ferries ne répondant pas à certaines conditions du cahier des charges. (...)
Le Conseil régional ayant décidé à l’unanimité de procéder à l’élection au vote à scrutin public,
sont élus membres de la Commission de concession et de délégation de service public :
5 000 communes pourront bientôt mettre en place une surtaxe. Une mesure visant à éviter des problèmes de logement et d’augmentation du prix des maisons. Pour l’instant, 1 140 villes peuvent appliquer cette mesure, mais un amendement vient d’élargir cela à 5 000 communes. L’objectif est de récupérer cet argent pour construire des logements destinés aux habitants.
Afin de forcer encore davantage le retour des logements vacants sur le marché, le gouvernement a également décidé d’augmenter d’un tiers les taux de la taxe sur ces logements, en passant l’imposition dès l’an prochain de 12,5 % à 17 %, lors de la première année de vacance, et de 25 % à 34 % à compter de la deuxième année. L’objectif est ainsi d’« adresser un signal aux propriétaires qui n’occupent pas ces logements ou ne les mettent pas en location ». (...)
Des économies d’énergie pour tous les habitants chauffés à électricité !
Dans le cadre d’un partenariat avec Lorient Agglomération, Groix soutient l’initiative de la société Voltalis permettant de proposer à ses citoyens une solution d’économies d’énergie efficace et complète.
Le dispositif Voltalis est installé gratuitement dans les logements chauffés à l’électricité. Il permet de piloter les appareils électriques les plus énergivores, comme les radiateurs et les chauffe-eaux, (...)
Y en a trop ... à voir directement en mairie, à l’EHPAD, au CCAS, etc...
On dirait presque que l’épidémie de turn-over que subissent les hôpitaux a gagné la commune !
Un débat vigoureux s’est engagé entre le maire et les élus d’opposition, le premier reprochant aux seconds des positions démagogiques sur le logement des résidents à l’année à Groix et en particulier des jeunes couples. Victor Da Silva : « Pourquoi ne pas créer un fonds local pour le foncier, soutenu par l’Agglo et le département, qui achèterait des terrains pour les revendre ensuite à prix raisonnable à des couples cherchant à s’installer ? » Réaliste ou pas, à prendre telle quelle ou à ajuster, l’idée mérite débat et considération, bien mieux que d’être qualifiée de « mousse démagogique ».
La dégradation des indicateurs épidémiologiques, en Ille-et-Vilaine, se traduit par une hausse du besoin d’hospitalisation de patients avec Covid » précise le CHU. À ce jour, 59 lits sont occupés par des patients Covid contre 5 à la mi-septembre. En clair, il devient de plus en plus difficile de trouver des lits d’hospitalisations pour les personnes qui passent par les urgences.
Dans le cadre du contrat de plan avec l’État voté en début d’année, la région engage six millions d’euros pour les îles du Ponant jusqu’en 2027. L’État, lui, versera quatre millions. Les montants ont été actés jeudi 13 octobre 2022. Le département du Morbihan, pourtant riche en îles, n’aurait pas souhaité s’associer au contrat.
David Le Quintrec, qui pêche depuis des années sur la zone d’ancrage prévue : "(La zone choisie) est au-dessus d’un banc de roche où travaillent en majorité les fileyeurs. À Lorient, nous sommes quatre cinq bateaux à travailler là, il y en a aussi du Finistère et de l’île d’Yeu. Les éoliennes ont été implantées là car nous sommes minoritaires par rapport aux chalutiers.
Les filtres des usines de dessalement permettent de récupérer 25 % d’eau "claire". Et les 75 % d’eau restante forment une "saumure" qui est rejetée directement dans la mer, parfois sans dilution ou traitement. Et cela pourrait avoir "de profondes répercussions sur les organismes vivant au fond des eaux (pouvant) se traduire par des effets écologiques observables tout au long de la chaîne alimentaire".
A Groix comme ailleurs en Bretagne, une imminente coupure d’eau semble peu probable. L’inquiétude porte davantage sur l’été 2023. Si les réserves ne sont pas reconstituées d’ici au printemps, la région pourrait être incapable d’assumer un nouvel été caniculaire. Et ce, malgré une bonne interconnexion des réseaux de distribution permettant la répartition de l’eau selon les besoins des territoires.