Un accident de santé dramatique m’a conduite à expérimenter plusieurs services de notre maison de santé et à me heurter aux conséquences de sa belle fréquentation.
Si l’on a pu craindre, lors de son ouverture, que la multiplicité de médecins, bousculant les habitudes groisillonnes de "consommation" médicale, conduisent certains patients à consulter sur le continent, on peut maintenant être rassurés : la plupart des "infidèles" reprennent le chemin logique de la rue du Couvent et la fréquentation suit une courbe ascendante.
Et c’est heureux, car sans une fréquentation optimum l’APSIB, garantie par une Mutuelle et l’ARS, cesserait un jour prochain l’apport logistique et financier…