« Il faudra porter le masque dans les filets. Le nombre de personnes sera limté pour pouvoir conserver une certaine distance dans les filets. » L’entreprise qui compte 17 CDI et qui peut, selon les chantiers et l’activité, embaucher une trentaine de CDD de plusieurs mois, a dû activer le chômage partiel. Pierre Sacaze : la fermeture des frontières nous impacte fortement
Selon les règles en vigueur, les serveurs et salariés d’un établissement en contact avec le public doivent obligatoirement porter un masque, y compris en terrasse.
Pour les clients, le protocole est également clair : "les clients des cafés, bars et restaurants doivent porter un masque, sauf lorsqu’ils sont à table". (...)
La mission demande une autonomie accrue des ARS. La mission évoque les contraintes, notamment les nombreux reporting à rendre au niveau national, qui expliqueraient les lourdeurs que les ARS font à leur tour peser sur les acteurs de terrain. Elle propose donc « qu’elles bénéficient d’une plus grande autonomie dans la déclinaison régionale des objectifs nationaux et d’une plus grande souplesse dans la gestion des moyens mis à leur disposition, particulièrement le Fonds d’Intervention Régional
Manque de personnels, conditions d’hygiène alarmantes, vocations en berne… En psychiatrie, les patients sont parfois maltraités. Et les soignants aussi. Fin mars, alors que le pays s’installe dans le confinement, des masques et du gel hydro– alcoolique sont distribués aux hôpitaux, sauf… aux psychiatriques. Étourderie  ? Trois mois plus tard, l’oubli heurte toujours des professionnels qui depuis longtemps déjà se sentent méprisés.
Le président de la République a annoncé une réforme de l’État qui ferait le pari de la décentralisation. E. Macron « veut ouvrir une page nouvelle donnant des libertés et des responsabilités inédites à ceux qui agissent au plus près de nos vies, libertés et responsabilités pour nos hôpitaux, nos universités, nos entrepreneurs, nos maires et beaucoup d’autres acteurs essentiels »
La colère du personnel hospitalier ne retombe pas malgré le « Ségur de la santé" . Une dizaine de collectifs hospitaliers et de syndicats appellent à une grande journée de manifestation sur tout le territoire mardi 16 juin.
Rendez-vous est donné à Lorient à 14 h30 , devant l’hôpital du Scorff. (...)
Cet ouvrage est né de la volonté d’aider dans leur travail les soignants marseillais, les « petites mains » qui, des infirmières aux brancardiers, des ambulanciers aux aide-soignants ont permis aux médecins de sauver des vies depuis le début de la crise sanitaire liée au « covid 19 ».
Tout est bénévole : les auteurs qui ont répondu présent et tous les membres de la chaine d’édition.
Afin de gérer au mieux l’accueil des usagers et d’assurer l’évacuation des déchets conformément à la réglementation, la règle d’accès liée au dernier chiffre de la plaque d’immatriculation, qui doit correspondre au dernier chiffre de la date du jour, est maintenue jusqu’au samedi 13 juin inclus. Le dispositif sera levé à partir du lundi 15 juin.
Il faut penser qu’il faudra peut-être réaliser un test après l’autre. Il n’est pas certain qu’il y ait une deuxième vague mais mieux vaut se préparer. En cas de contamination massive, il faudra trouver un lieu adapté sur l’Île qui puisse être désinfecté rapidement avec des files différentes. Où trouver des sur blouses en quantité suffisante  ? Quel lieu prévoir alors que les travaux de la maison de santé ont été retardés  ?
« Le nombre des personnes qui peuvent être admises à pénétrer dans la salle communale où est organisée la célébration du mariage est déterminé en fonction de la taille de cette salle et de la possibilité de faire respecter la distance barrière d’un mètre entre les personnes venant assister à la célébration. » La décision reviendra donc au maire, en fonction des conditions locales.
« Les autorités municipales et les professionnels de santé seront probablement confrontés à des choix difficiles pour atteindre un équilibre entre prévention de la propagation de l’infection et protection des personnes contre les températures trop élevées de leur environnement »
L’ASN a constaté des « retards significatifs » dans la mise en Å“uvre de certaines mesures post-Fukushima. L’ASN estime que la rigueur d’exploitation est en recul chez EDF. L’ASN a noté « le franchissement de certaines barrières de sûreté bien connues des exploitants ». De tels écarts sont « significatifs de la perte de culture des intervenants ». L’ASN a aussi relevé que les procédures à mette en Å“uvre en situation d’accident ne sont pas toujours adaptées. Par ailleurs, certains documents d’EDF utilisés lors de simulations d’incidents comportent « des erreurs, voire des instructions impossibles à exécuter », déplore Bernard Doroszczuk.
Le CESE lance, du 14 mai au 25 juin, sa consultation citoyenne autour de la question : "Comment améliorer l’hôpital de demain et sa place dans le système de santé ?".
L’élu est contre l’ouverture des plages avant le 2 juin et n’a donc pas souhaité les rouvrir. "Les gens hurlent parce qu’on les oblige à faire des choses mais ils se comportent de manière lamentable. La règle des 100 km n’a absolument pas été respectée. Le nombre de résidents secondaires qui sont arrivés chez nous depuis samedi, c’est effarant."
O Lepick, n’a pas l’intention de la jouer « démago ». Il s’explique : « Je redoute vraiment qu’avec un déconfinement trop brutal, on gâche les efforts inouïs que nous venons de faire, et que l’on prenne le risque de reconfiner le 15 juin. Tout ça parce qu’on n’aura pas su attendre deux ou trois semaines pour aller à l’eau ? « LÃ , le risque, si on doit être reconfinés, c’est de bel et bien gâcher toute la saison estivale. »
A partir du lundi 11 mai, et ceci toute la semaine, la mairie sera ouverte au public de 9h à 12h. Toute personne entrant en mairie devra porter un masque.
La MSAP sera également ouverte de 9h à 12h et les personnes devront prendre rendez-vous au préalable pour être reçues. Pas d’accès libre. le port du masque est oubligatoire. Prendre rendez-vous auprès de Laetitia ou Yann au 02 97 86 69 26 ou 02 97 12 85 20