En Bref
Publié le 2 avril 2011 à 09:58Des travaux sur le brise-lames à Port-Tudy
Afin de procéder à un raccordement au tout à l’égout, des travaux vont être entamés sur le brise-lames, à côté de l’ancien abri du canot de sauvetage. « Il est demandé aux propriétaires de prames de les retirer, avant le vendredi 8 avril », fait savoir André Tonnerre.
Ouest-France 02/04/11
Solidarité Haïti. 2.000€ pour les Abricots
« Les ventes organisées par le Cocig ont rapporté 450 € ; la buvette du vendredi a rapporté 650 €. 350 € ont été collectés dans l’urne dédiée aux dons, et la tombola organisée par l’Atelier Grenat a rapporté 460 €. Une cinquantaine de jeux de société en bon état ont été offerts.
Le Télégramme 02/04/11
Nantes. Voté ce matin, le budget de la ville est déjà en ligne
Belle réactivité des services et effort de vulgarisation à souligner. Des petites fiches illustrées présentent les principaux points du budget. L’une d’elles détaille notamment la répartition des dépenses et des recettes sur un budget ramené à 100 €.
Le Télégramme 01/04/11
Pêche et tourisme. Un beau couple mis à mal
Fini l’embarquement sur les chalutiers côtiers. Les passagers des autres navires devraient chacun disposer d’une « surface de pont de 0,5m² au minimum, abrité de l’action de la mer et d’un « siège d’au moins 0,45m de largeur assise ». R.P. Chever juge le projet « totalement incohérent ».
M. Revel Le Télégramme 02/04/11
Santé. Mécontentement du collectif Bretagne
« Le collectif s’est ému des nouvelles dégradations de la prise en charge des malades. La politique de privatisation de la Sécurité sociale, de démantèlement des hôpitaux, l’incertitude financière de la politique de santé... La liste de nos motifs de mécontentement est longue (...) ».
Le Télégramme 02/04/11
Le démantèlement de l’hôpital public
Plus que jamais, l’indispensable égalité d’accès aux soins doit être au cœur d’une nouvelle politique de santé. Après les enseignants et les juges, le personnel hospitalier est traité sans aucune considération. Faute de pouvoir se faire soigner dans une structure publique près de chez soi, les habitants vont devoir se tourner vers les cliniques et assureurs privés. Bref, se dessine une médecine de confort pour ceux qui ont les moyens, pour les autres la vétusté de l’hôpital public. Triste avenir pour les générations futures.
J. Boutault, D. Bertinotti et P. Aidenbaum LEMONDE.FR 01.04.11