.../... Ils avaient pris le bateau à Lorient pour débarquer sur l’Île sauvage et rocheuse de Groix. C’était l’après-midi : oh, la beauté insensée de ce jour de notre arrivée ! Bord de mer, saillie de rocher gris sous un ciel gris, et la mouette qui s’élançait contre nous encore et encore, chevauchant le vent, montant et descendant, son fol instinct aveugle me remuant jusqu’aux tripes. ...
J’étais abasourdi, frappé de stupeur par ce paysage... le soleil qui perçait l’amoncellement de nuages (...)