"Aujourd’hui dans les universités, nous sommes en face d’un mouvement du coeur.
Les femmes, les enfants, les viols, et la prise d’otages, c’est insupportable. Certains disent, le 7 octobre c’était une rétorsion. Mais la réponse qui est donnée est quelque chose d’effroyable, ces populations civiles massacrées, cette aide alimentaire qui n’arrive pas. Nous avons actuellement un massacre. Alors, la Cour pénale internationale a envisagé le fait qu’il y avait des menaces de génocide. Ce qui se passe, c’est terrible. (...)